Le point pour la fin
J'ai froid, tu m'envoies
ça comme ça sans point
mais il me semble que
tu avais mis une majuscule
Je mangerais bien des
croissants avec toi dans un coin
de ce café ou tu voulais
m'emmener : il était fermé
Mais
C'est sans importance de
toute façon tu fais une
très jolie carotte
ça finira par me déranger
de te courir après
quand une autre te croquera
Tu sais hier
quand je t'ai attendu,
comme tu n'es pas venu
je suis allée boire un thé
où je t'avais emmené
au petit café vert :
on m'y a conseillé d'écrire
et c'est ce que je fais.
mahe
Comme on se noie.
Vendredi 28 septembre 2007 à 20:47
Commentaires
Par que-vent-emporte le Vendredi 28 septembre 2007 à 23:34
Belle épigramme, tendrement féroce : la classe ! Léa, je te salue bien bas.
Par le Samedi 29 septembre 2007 à 12:38
que se passe t il?
et toitoitoitoi?
et toitoitoitoi?
Par le Samedi 29 septembre 2007 à 21:36
Comme je t'aime !!!
Je suis là, ne l'oubli jamais .
Je suis là, ne l'oubli jamais .
Par le Dimanche 30 septembre 2007 à 19:05
léa. je ne te dirais pas ' oubli le '.
laisse le sur cette date tu 30 septembre et les jours passerons dessus, jusqu'a se que tu ne le voit plus qu'en flou en dessous des feuilles mortes.
je t'aime.
laisse le sur cette date tu 30 septembre et les jours passerons dessus, jusqu'a se que tu ne le voit plus qu'en flou en dessous des feuilles mortes.
je t'aime.
Par le Dimanche 30 septembre 2007 à 19:32
j'ai l'impressopn d'avoir mal changer, mal grandit. je me sens délaver et il m'est impossible de publier ce que je peux débiter sur le clavier.
et je sais que c'est de ma faute. par ce que je reste dans ma boue et que je me plais à m'enfoncer. pourtant, pour une fois j'aimerai me plaire à marcher comme il se doit sur du BITUME. je devrais peut être m'acheter des talons pour l'hivers?
tu crois que les vacances de noël , c'est de bonne vacance ou je peux monter à cournonsec ? une journée, une après midi, à paris?
et je sais que c'est de ma faute. par ce que je reste dans ma boue et que je me plais à m'enfoncer. pourtant, pour une fois j'aimerai me plaire à marcher comme il se doit sur du BITUME. je devrais peut être m'acheter des talons pour l'hivers?
tu crois que les vacances de noël , c'est de bonne vacance ou je peux monter à cournonsec ? une journée, une après midi, à paris?
Par le Lundi 1er octobre 2007 à 20:08
Je ne cesse de penser, de tourner,
autour de e qui aurrait pus être.
De revenir sur mes pas, de les regretter, de réfléchir,
de penser. De croire que tu ne m'en veus pas,
de m'attendre sans cesse, de ne pas pouvoir.
j'aimerais de donner ce que j'ai, pas maintenant, pas comme ca,
pas avec ces vautours qui me tourne. Léa je t'embrasse.
autour de e qui aurrait pus être.
De revenir sur mes pas, de les regretter, de réfléchir,
de penser. De croire que tu ne m'en veus pas,
de m'attendre sans cesse, de ne pas pouvoir.
j'aimerais de donner ce que j'ai, pas maintenant, pas comme ca,
pas avec ces vautours qui me tourne. Léa je t'embrasse.
Par le Mardi 9 octobre 2007 à 16:26
Puisque l'heure est aux chansons d'amour et autres comédies musicales:
Pourquoi viens-tu si tard?
J'avais cessé d'y croire,
tiré un trait dessus.
Ta présence informelle me manque.
J'aimerais que nous soyons irréels.
En route!
Liseron d'ophélie cratère de dracula :
mille pattes lui servent de mille langues de feu
meule aux fourches de larmes du monde bossu
millénaires
et nuit
pour fuir loin aux herbages
la mort
aux herbages fuir sa honte louve
6 février 1975
Vadim Kozovoi (pére du bel Andreï...)
Ici, à Orléans, il fait laid.
Je m'ennuie de tout; ça a beau être une loi de la nature, ça a beau n'être pas ta faute, c'est triste.
Je pense
Baisers Cambodia par Kim Wilde
Théophile
Pourquoi viens-tu si tard?
J'avais cessé d'y croire,
tiré un trait dessus.
Ta présence informelle me manque.
J'aimerais que nous soyons irréels.
En route!
Liseron d'ophélie cratère de dracula :
mille pattes lui servent de mille langues de feu
meule aux fourches de larmes du monde bossu
millénaires
et nuit
pour fuir loin aux herbages
la mort
aux herbages fuir sa honte louve
6 février 1975
Vadim Kozovoi (pére du bel Andreï...)
Ici, à Orléans, il fait laid.
Je m'ennuie de tout; ça a beau être une loi de la nature, ça a beau n'être pas ta faute, c'est triste.
Je pense
Baisers Cambodia par Kim Wilde
Théophile
Par le Vendredi 19 octobre 2007 à 14:12
Dis moi, qu'est-ce qu'il n'a pas été mieux?
Vraiment, une fin?
Je vais bien, je me porte bien, ici tout va. à savoir si c'est pour longtemps..
ça fait trop longtemps, tes récits de vie, me manque, on devrait se parler, plus souvent. à savoir pourquoi on y arrive pas?
Léa, je t'aime !
Vraiment, une fin?
Je vais bien, je me porte bien, ici tout va. à savoir si c'est pour longtemps..
ça fait trop longtemps, tes récits de vie, me manque, on devrait se parler, plus souvent. à savoir pourquoi on y arrive pas?
Léa, je t'aime !
Par le Mardi 21 juin 2016 à 10:46
J'avais suivi ces deux séries depuis le début de la publication japonaise.
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