mahe
Comme on se noie.
Samedi 11 août 2007 à 0:40
Et je m'effondrais au sol ; ceci se nomme une fin brutale.
Et je criais à tort
et à raison : je ne me la suis pas faite.
Il n'y a plus de mots pour décrire le passé derrière on court encore.
Je t'ai tout donné, tu m'as tout rendu.
Je suis dans la file, j'attends d'être pendue.
Je ne te souhaite pas le moindre bonheur.
Jeudi 9 août 2007 à 1:53
Tout s'embouille et s'embue,
le mal qu'on fait il faut du temps pour le polir, les plaies se pansent et ce n'est pas vraiment qu'on n'y pense
plus, plutôt je voudrais nous donner une chance
de ne pas la rater cette fois ci,
de ne pas passer à côté mais à côté des soucis,
de la peine que les autres ont pu me faire, du passé dont on ne se défait pas, le blues je l'ai,
ma première fois elle est là,
comme un chat dans la gorge, la question des regrets c'est ton prénom qu'elle a,
quand j'ai envie d'un autre : c'est ton visage que je vois,
et pourtant c'est terminé ce ne sont plus des traits que je tire
c'est sur toi que j'ai tiré.
J'attends l'heure du thé.
Tu sais ou tu savais ou tu n'as écouté que d'une oreille car tout est oublié.
Est maintenant Hors Ligne.
le mal qu'on fait il faut du temps pour le polir, les plaies se pansent et ce n'est pas vraiment qu'on n'y pense
plus, plutôt je voudrais nous donner une chance
de ne pas la rater cette fois ci,
de ne pas passer à côté mais à côté des soucis,
de la peine que les autres ont pu me faire, du passé dont on ne se défait pas, le blues je l'ai,
ma première fois elle est là,
comme un chat dans la gorge, la question des regrets c'est ton prénom qu'elle a,
quand j'ai envie d'un autre : c'est ton visage que je vois,
et pourtant c'est terminé ce ne sont plus des traits que je tire
c'est sur toi que j'ai tiré.
J'attends l'heure du thé.
Tu sais ou tu savais ou tu n'as écouté que d'une oreille car tout est oublié.
Est maintenant Hors Ligne.