mahe

Comme on se noie.

Jeudi 12 septembre 2013 à 4:47

 


je voudrais m'asseoir avec toi quelque part et ne rien dire ;
la poésie nous la ferons ensemble











comme avant



Mercredi 11 septembre 2013 à 1:51

 



je me suis croisé
j'avais les cheveux longs -
et j'étais beau comme toi -
quand je te regarde étrangement je
me vois je me plais :
tu t'embrasses
- dans l'ivresse tu me parles et
c'est moi que j'entends je te
sais sans te connaître et tu m'effraies
désormais tu sens l'oranger
il y a le blanc de tes plumes,
le bleu du reste l'évidence dans
la résistance, de petites choses de petits voeux
épars : que l'on est beaux,

avec soi-même ; l'incohérence



Mercredi 4 septembre 2013 à 2:26

 




-mais alors quoi était vraie qui l'est encore
de l'une à trois je vous aime et des boucles
une : les vers, l'odeur la première pas jolie si,
si jolie ! - la deuxième
ma doublure, tu dissèques tout
ce qu'il y a je ne vois pourtant rien venir - tu me tiens si chaud
dans la querelle ; je t'aime !
et puis toi, le coton, la patience-








Mardi 3 septembre 2013 à 15:35

 

un oiseau pour le secret un oiseau pour
la culpabilité et deux oiseaux pour deux amours,
ou trois,
ou tous

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