mahe
Comme on se noie.
Vendredi 31 décembre 2010 à 0:59
je me promenais le long d'une grande femme rouge
dont tous les visages sont aux creux des falaises
où partout toutes les vies s'abreuvent aux gorges d'un immuable soleil ;
ses longues boucles sont voilées de sables,
elle transpire en cumin et en bleu majorelle ;
vallonnée de poitrines que tètent les troupeaux,
on la rampe dressée ; serpent charmé sur la place aux tambours
elle est telle un soupir, s'étire après l'amour
Commentaires
Par novembre le Vendredi 31 décembre 2010 à 11:29
je pense à toi sans voyager je voyage encore
Par Mardi 5 juillet 2016 à 9:53
le Grasse, oui, il y va fort, moi aussi j'aime son ventre, mais il est vrai que je suis un peu plus mince.
Par Lundi 22 août 2016 à 9:51
le On me l'a dit pour la sixième fois avant-hier, du coup voilà.
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