Ca me plait bien de me dire que t'es comme du coca pas frais.
Que tu pétilles plus,
que tu t'attendais à ce que le glaçon faible ce soit moi,
que t'avais trouvé la réplique qui déchire là où je m'emmerde à recoudre,
même si la couture t'es bien placée pour savoir que c'est pas mon jus d'orange du matin.
Et si tu veux de mes nouvelles demande toujours à mes yeux qui pendent de sommeil,
ils vont t'éclairer,
mais t'en veux pas.
Moi non plus des tiennes,
les gens qui fondent je marche dedans comme dans une flaque
et j'éclabousse les murs avec leurs débris.
Je vois ta gueule déconfite qui tartine les vitres d'en face,
celles qui me renvoient ma triste image et ton joli sourire auquel il te manque maintenant des dents.
Je te félicite d'avoir épuisé le papier Joseph,
parce que grace à toi mes images sont fabuleuses,
et même si dans le fond c'est comme un puzzle avec des couleurs du passé,
je t'ai scotché les tibias dans les cheveux et je te trouve très laide,
enfin!
Ca me fait un pincement dans la cuisse.
Pour conclure j'ai aussi essayé de te recoller les yeux en face des trous: on est tous à bout.
Tu peux toujours vomir.
T'es aveugle comme un pot, tu ne penses qu'à tes pieds.
Mon Elisée, tu illustres une grande guerre que je mène contre tout-et-rien, car enfin nous sommes un peu tous en guerre quelque part. Je t'aime et tu me supportes. Je t'aime deux fois plus et je pourrais te le prouver en des tonnes de bocaux à urine. Et je te dis merci.
Que tu pétilles plus,
que tu t'attendais à ce que le glaçon faible ce soit moi,
que t'avais trouvé la réplique qui déchire là où je m'emmerde à recoudre,
même si la couture t'es bien placée pour savoir que c'est pas mon jus d'orange du matin.
Et si tu veux de mes nouvelles demande toujours à mes yeux qui pendent de sommeil,
ils vont t'éclairer,
mais t'en veux pas.
Moi non plus des tiennes,
les gens qui fondent je marche dedans comme dans une flaque
et j'éclabousse les murs avec leurs débris.
Je vois ta gueule déconfite qui tartine les vitres d'en face,
celles qui me renvoient ma triste image et ton joli sourire auquel il te manque maintenant des dents.
Je te félicite d'avoir épuisé le papier Joseph,
parce que grace à toi mes images sont fabuleuses,
et même si dans le fond c'est comme un puzzle avec des couleurs du passé,
je t'ai scotché les tibias dans les cheveux et je te trouve très laide,
enfin!
Ca me fait un pincement dans la cuisse.
Pour conclure j'ai aussi essayé de te recoller les yeux en face des trous: on est tous à bout.
Tu peux toujours vomir.
T'es aveugle comme un pot, tu ne penses qu'à tes pieds.
Mon Elisée, tu illustres une grande guerre que je mène contre tout-et-rien, car enfin nous sommes un peu tous en guerre quelque part. Je t'aime et tu me supportes. Je t'aime deux fois plus et je pourrais te le prouver en des tonnes de bocaux à urine. Et je te dis merci.
Enfin bref..
JE t'aime et je te volerais ton prenom. Elise contre Lea. Tu perds au change. MAis je sais que tu aimes mon prenoms et tu sais que j'aime le tiens. C'est donc equitable.
Je t'aime. Je t'aime. Et je vais re re relire ce bel article. Jusqu'a en plus pouvoir.