mahe
Comme on se noie.
Vendredi 16 mars 2007 à 20:08
L'ombre de Blaise
effleure le mur,
son corps est un muscle,
son corps est beau.
Caprice attend,
l'attend.
Caprice et Blaise dansent,
ils perlent.
Leurs cheveux salés
rentrent dans la peau,
les yeux mi-clos,
huilés de sueur.
Comme quand
ils font l'amour.
Ils sont vivants,
sous les yeux jaloux.
On applaudira à perdre haleine.
Vendredi 9 mars 2007 à 19:08
Maintenant, Madrid ressemble à des larmes que je ne sais pas verser.
Mardi 6 mars 2007 à 20:57
Avec la perpetuelle angoisse
de foncer dans les ombres,
je rentre dans la danse
sous la nuit
sur mon vélo sans lumière,
enlacée par le vent froid du printemps qui approche,
mais qui n'est pas là,
il te ressemble.
Tu retentis en moi comme une sirène sur un grand carrefour.
de foncer dans les ombres,
je rentre dans la danse
sous la nuit
sur mon vélo sans lumière,
enlacée par le vent froid du printemps qui approche,
mais qui n'est pas là,
il te ressemble.
Tu retentis en moi comme une sirène sur un grand carrefour.
Caprice est là,
Caprice est belle comme un mur blanc,
elle rigole trop souvent,
soit dit en passant,
dès qu'on la chatouille,
Caprice est là,
ses rubans trop usés qui s'acharnent,
Caprice a les cheveux courts.