mahe
Comme on se noie.
Samedi 3 février 2007 à 21:51
Je passe ici pour une fille dont le goût des choses semble bien fade.
Et pourtant j'aime me mettre nue au soleil.
Mardi 30 janvier 2007 à 18:53
Dénigrer l'espoir c'est avoir encore plus honte d'espérer.
Quand on chie sur les rêves des autres,
c'est parce qu'on a la dhiarrée.
Si tu savais comme j'ai presque envie de le tatouer,
ce je t'aime là,
celui que t'as attendu comme un chien devant la porte.
Je pouvais pas aimer les types qui courent après les frisbee.
Je t'aime qui s'est planqué au tournant et à cause duquel,
et la suite est fausse,
duquel je t'ai laissé danser seul, parler avec ton ombre, danser seul,
et entendre ta voix répondre.
Hahaha.
Devant moi, il y a hier.
Derrière moi il y a toi et cette fille avec qui tu rigoles.
Le petit gitan - Alain Ponçon
Dimanche 28 janvier 2007 à 0:51
On aura essayé les grands mots composés mais on ne retiendra que le fromage périmé,
il fera le porte-parole.
Elysée & moi, je t'aime.
Vendredi 26 janvier 2007 à 19:54
Et maitenant, déséquilibre des os.
Passé qui s'étale.
Présent en panne.
Futur glissant.
Catastrophe cérébrale,
ils sont beaux les grands mots!
L'unijambiste à la corde à sauter manque de sommeil
et se fabrique des rires sous la fumée de son pétard,
c'est le 26;
mais c'est pas l'bout.
photo, Fanny
Mercredi 24 janvier 2007 à 19:13
Il faut faire cesser les choses,
pour te regarder ensuite
et se dire qu'à tout refuser
on ne gagne qu'une fausse bonne raison pour ne pas vider son assiette.
Apres Devenir c'est pour Regretter qu'on pleure,
et quand tu pleures,
j'ai envie de te jetter sur le mur.
586,
l'amertume.
Sorrow - Van Gogh