mahe

Comme on se noie.

Mardi 17 avril 2007 à 19:40

 









Ce qu'on laisse nous dépasse(ra).


Lundi 16 avril 2007 à 19:01

j'avais envie de te faire un article pour ta rentré de Nantes. mais j'ai raté sur ce coup là,faute de temps.Tu pourras me dire comment c'était bien.
Léa,je vais pas faire de chichi. j'en ai trop râle bol des filles trop chiante à ce dire qu'elles s'aiment.
ca me fais rire de te dire ca,souvent j'ai l'impression qu'on à les même sentiments sur les choses. alors ca me plais. j'ai comme de la tendresse quand je viens ici. je pourrais en dire de belles conneries qui font sourire. T'as des mots qui me touche et ca même dans tes commentaires. c'est plaisant.






Je t'aime.

Marina

Vendredi 6 avril 2007 à 13:12




Une semaine à nous deux,
moutouhawawa powa feva',
ça sent le sable, les sautes d'humeur, le thé au p'tit dej' et les photos en pagaille,
ça sent l'inoubliable,
le fou rire,
Le Croisic.







Mardi 3 avril 2007 à 16:32











Pitoyable soirée.




Vendredi 30 mars 2007 à 20:29



Le bonhomme avec son bonnet noir qui me propose des biscuits,
lire il était disparu avec le soleil qui cogne encore,
sourire comme une fille heureuse, l'air bête en surplus,
le même air bête que les autres,
sans pourtant me soucier des similitudes.
Que papa rentre des Etats Unis avec des cadeaux géniaux,
des scorpions dans des sucettes vertes
à la pomme, des scorpions mangeables.
Qu'il me cause en anglais.
Mes 3 copines de la 203 sont géantes,
j'ai ma place dans le gang des fesses,
on parle de blanc d'oeuf avec le sourire niais de la nana crade,
ces filles sont des sexes odorants.
Mentir Asesparents est bonne, et c'est une fille facile, que je caresse avec contentement.
La physique c'est fantastique,
aller au green et fumer tes clopes,
et quand tu me cherches,
quand mon leds clignote bleu turquoise et que c'est toi,
et sauter dans les bras de Mou'ne qui est toujours une surprise,
une fascinante fierté,
croiser Toujours par surprise,
c'est mon petit bonheur qui ne devient pas routinier,
les vacances,
l'idée que le soleil revient,
que ce soir, la maison sent le poivron,
et la cuisine a retrouvé son propriétaire
et les robots leurs raisons d'être
et bientôt le goût familier de la jelly bottom cerise chimique,
le goût de mon accent de Norwich.
Me dire qu'en fait, ce qu'il me faut peut-être pour pleurer,
c'est ma joie.
Je me sens prête à verser des gouttes qui rient.
J'aime.




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