Tout s'embouille et s'embue,
le mal qu'on fait il faut du temps pour le polir, les plaies se pansent et ce n'est pas vraiment qu'on n'y pense
plus, plutôt je voudrais nous donner une chance
de ne pas la rater cette fois ci,
de ne pas passer à côté mais à côté des soucis,
de la peine que les autres ont pu me faire, du passé dont on ne se défait pas, le blues je l'ai,
ma première fois elle est là,
comme un chat dans la gorge, la question des regrets c'est ton prénom qu'elle a,
quand j'ai envie d'un autre : c'est ton visage que je vois,
et pourtant c'est terminé ce ne sont plus des traits que je tire
c'est sur toi que j'ai tiré.
J'attends l'heure du thé.
Tu sais ou tu savais ou tu n'as écouté que d'une oreille car tout est oublié.
Est maintenant Hors Ligne.
mahe
Comme on se noie.
Jeudi 9 août 2007 à 1:53
Mardi 31 juillet 2007 à 22:10
L'été manque de sincérité,
j'attends la pluie d'automne.
Dimanche 29 juillet 2007 à 23:32
J'entends la machine à laver. C'est du blanc ce soir.
Vendredi 27 juillet 2007 à 16:52
Ne plus me mentir quand je me dis que je ne me mens pas
rayer, mais il y a des gens sur lesquels on ne tire pas de traits
il faut bien les choisir, ceux à qui on dira je t'aime,
car c'est bien connu on ne fait pas toujours les bons choix. Et même
il serait temps que mon espoir se fasse incinérer,
et je jetterai les cendres où tu aimais aller.